Passage
Où reposer cette vie à perdre haleine
Les jours de pierre enracinés dans l’aube ?
Ici le temps a esquissé l’oubli,
Vaincu l’espace des voûtes qui emplissait les heures
Ici.
J’ai regagné mon âme et habiter mon corps
Entraver l’ouest qui me coulait des veines.
Reliée, je te repose là- - contre cette porte refermée.
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